“Et c’est en vérité une chose incompréhensible : comment le monde peut-il tenir après tant de cris comme ceux-là ? Pour les dix ‘Harougué Malkhout’, il est dit que les anges crièrent : ‘C’est cela la Thora et c’est cela son salaire ?!’ – Alors, l’écho d’une voix répondit des cieux : ‘Si J’entends encore un son, Je réduis le monde en eau !’ [‘Elé Eskara’, Moussaf de Yom Hakippourim]. Et à présent, des enfants innocents, anges purs, et même des Guedolim, saints d’Israël, qui sont tués et exterminés seulement parce qu’ils sont juifs, qui sont plus grands que des anges, remplissent tout l’espace du monde de ces cris, et le monde n’est pas transformé en eau, il reste seulement comme il est, comme si la chose ne le touchait pas ?!”
[Houkat 5702/ 1942, p.187]
(Paragraphe suivant : 4.1. Le Saint-Béni-Soit-Il est avec nous dans la peine et dans le malheur)