« Au fond des choses, ce qui est saint est ce qui est orienté, et le profane est ce qui se trouve sur un chemin détourné et utilitaire. Le nom explicite [‘chem hameforach’] est le dévoilement de l’orientation spécifique dans la profondeur de la pensée divine, et les dénominations [‘kinouïm’] sont la notation des activités selon leurs catégories. Le monde [du profane] ne tient pas de lui-même en Israël, mais il est réuni avec le monde orienté, et c’est cela le fondement de la sainteté. » (Igrot Haréaïa III, p.41, #772)